Manon Gauvin a eu beau avoir tout prévu pour son projet de ressource d’hébergement pour jeunes adultes lourdement handicapés, la hausse importante du coût de certains matériaux de construction provoquée par la pandémie ne faisait pas partie de ses plans.
Alors que la construction de l’établissement va bon train et que son rêve d’offrir une maison adaptée à son fils souffrant de paralysie cérébrale est sur le point de se concrétiser, la Fondation Un souffle et des ailes appelle à l’aide pour franchir les derniers milles avant la grande ouverture.
«Il manque des moulures pour les fenêtres et des portes, des stores, le couvre-plancher, les portes de garde-robe, les gouttières, les soffites…», énumère Mme Gauvin au bout du fil. La Granbyenne estime à environ 50 000$ le manque à gagner pour des travaux de «finition» de la maison.
Source : Marie-Ève Martel, La Voix de l’Est
Photo : Christophe Boisseau-Dion, La Voix de l’Est